Toujours est-il que ce vêtement d’origine japonaise (les fameux samouraïs) est constitué de coton en général assez lourd, sauf pour ceux qui pratiquent le combat en Karaté. Mais dans ce cas précis, la toile est tellement fragile, qu’il vaut mieux éviter de l’employer dans d’autres circonstances !

Nous voici donc au cœur du problème : si le lien à la tradition est assez clair et justifié, le côté pratique et réaliste est un poil laissé de côté… C’est d’ailleurs ce qui explique que dans pas mal de clubs de Jiu Jitsu Brésilien on laisse tomber le keiko-gi traditionnel au profit du t-shirt et du short qui constituent eux-mêmes un keiko-gi disons… plus moderne. Question de praticité et de réalisme : essayez toujours d’effectuer un étranglement par la toile avec un t-shirt !

Pourquoi ne pas renouveler un peu votre pratique et vos techniques en laissant tomber –parfois- votre tenue traditionnelle ? On se sent tout de suite moins impressionnant quand il n’y a pas le claquement du keiko gi au moment du coup de poing… C’est peut être ça aussi un des fondements d’un art martial vivant (pour reprendre le terme de Me Habersetzer dans son ouvrage Tengu-Ruy) !

Article originellement paru sur le FB du club de Karaté TaïJitsu de Leers

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Les thèmes abordés sont:
– Assouplissements-stretching-echauffements
– Mouvements de bases du karate tai jitsu
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– Techniques de défenses