Salut à toutes et à tous.

J’ai malheureusement trop peu de temps disponible en ce moment pour assister aux stages de TaïJitsu. ce qui cause des regrets:

  • Je ne vois pas les copains
  • Je travaille moins mon corps de rêve
  • Je travaille moins mon karaté
  • Je ne découvre pas de nouvelles techniques
  • Je ne ramène pas de produits locaux.
  • Je ne peux pas vous relater le déroulement de ces stages.

Concernant ce dernier point, heureusement, il y de bonnes âmes qui m’envoie des photos et des gens sympas qui nous m’envoie des compte-rendus de stage. Bon, c’est vrai que les bonnes âmes et les gens biens sont souvent la même personne. En l’occurrence et aujourd’hui, Fabrice Caudron, (CN 4ème dan).

MAIS AU FAIT, AVEZ VOUS VOUS LU RÉCEMMENT LE POST INTITULÉ: LE STAGE DU ROSEAU (72) – KARATÉ ET TAÏ-JITSU

Comme vous le savez surement, ce week-end le samedi 4 mars 2017 avait lieu au Mans  le traditionnel stage du Roseau. Fabrice Caudron nous fait parvenir le compte rendu du stage (entre les lignes ci-dessous) et les photos (ci-dessus et dessous). Merci Fab’


Le week-end dernier s’est déroulé le stage du Roseau au Mans. L’équipe de Dominique Le Bihan a accueilli une cinquantaine de stagiaires pour la journée autour du thème des Bunkaï. Le stage était co-dirigé par Jean-Philippe Paris, 7ème dan Shotokan et par Christian Bisoni, 6ème dan Taï-Jitsu et expert fédéral.

Le matin le travail a tourné autour du kata Heian Nidan, l’après-midi autour de Jitte. Les deux intervenants ont proposé une interprétation originale des Bunkaï à partir de la spécificité de leur pratique. Jean-Philippe Paris a proposé une interprétation des katas fortement marquée par un esprit « ippon kumité » dans le sens où la technique restait au plus proche du diagramme du kata tout en restant courte. Il a aussi extrait des katas un travail pédagogique portant sur une forme de blocage en absorption. Christian Bisoni a quant à lui proposé un travail technique plus orienté « Jutsu » en incluant des clés articulaires et des étranglements. Les karatékas présents ont ainsi pu « redécouvrir » leurs katas à travers une interprétation qui sort de leur pratique ordinaire. Il ressort de cet échange un fort point commun : le Tai Sabaki. Toutes les techniques n’avaient de sens qu’à partir d’un déplacement et d’un positionnement du corps pertinents.

La journée s’est terminée par un moment convivial d’échange où Jean-Philippe Paris en a profité pour partager son savoir au sujet du travail respiratoire et la nécessité d’un gainage profond pour une pratique du Karaté sur le long terme.

Fabrice Caudron.


Voili voila, encore Merci à Fabrice C et surtout Hav’ Phun, TaïBuddy